vendredi 18 avril 2014

Sans Gabo, mille ans de solitude

Gabriel Garcia Marquez, dit Gabo, s'est éteint hier, 17 avril, et nous laisse pour mille ans de solitude, au moins.
Cent ans de solitude, paru en 1967 et toujours très populaire de nos jours, est un chef d'œuvre de la littérature sud-américaine, dans le style du réalisme magique.
Je citerais également parmi ses autres romans Chronique d'une mort annoncée ; L'amour au temps du choléra et parmi ses nouvelles L'incroyable et triste histoire de la candide Erendira et de sa grand-mère diabolique, ou Mémoires de mes putains tristes, un livre que j'ai évoqué dans une chronique précédente. Et aussi un recueil d'entretiens avec Plinio Mendoza, Une odeur de Goyave, et ses mémoires d'enfance et de jeunesse : Vivre pour la raconter.
"La vie n'est pas ce que l’on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient."
Encore mille ans de lectures magiques. Merci Gabo !


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